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Une piscine dans le jardin, oui mais laquelle ? Pour nager, privilégiez les formes rectangulaires et comptez au moins 10 m de long et 4 m de large, avec un minimum d’1,20 m à 1,50 m de profondeur. Les formes libres s’intègrent mieux au paysage, tandis que les piscines à débordement créent un effet spectaculaire, mais exigent d’avoir un terrain en pente. À l’inverse, les bassins avec plage immergée réduisent la surface de nage. Côté technique, choisissez entre un filtre à sable, qui nécessite de changer de sable tous les 5 ans, un filtre à cartouche, plus fin, qui capture les particules jusqu’à 10 microns contre 40 pour le sable, mais qu’il faut remplacer tous les 2 à 3 mois, ou un filtre à diatomée. Très efficace, ce système de filtration retient les particules jusqu’à 2 microns, mais demande un entretien rigoureux. Une pompe à chaleur (PAC) permet de se baigner plus longtemps, et consomme 3 à 5 fois moins qu’un réchauffeur électrique. Pour 40 m², comptez une PAC de 8 à 12 kW selon la région. Un réchauffeur solaire, lui, nécessite une surface de capteurs équivalente à 50 % du bassin. Quant à la couverture, elle sécurise le bassin, réduit l’évaporation de 90 % et les déperditions thermiques de 70 %. Techniquement, la bâche à bulles manuelle dure 3 à 4 ans. Le volet roulant automatique offre confort et sécurité… et l’abri permet d’utiliser le bassin toute l’année !
En kit : l’option la plus économe
Les piscines en kit sont livrées avec tous les éléments préfabriqués et une notice de montage détaillée. Les modèles hors sol se montent en quelques heures, les semi-enterrées nécessitent un terrassement partiel, tandis que les enterrées utilisent des panneaux modulaires ou une structure gonflable. Leur principal avantage ? Un coût réduit de 30 à 50 % comparé à une construction traditionnelle ! En revanche, formes et dimensions sont limitées, et le montage demande des compétences techniques.




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Un olivier et des lauriers roses dans le Sud, des haies, de la lavande et des arbustes peu exigeants en eau ailleurs… végétalisez les contours du bassin pour structurer l’espace, filtrer le vent et préserver votre intimité. Gardez de la place pour installer des transats, aménager une douche solaire et un coin ombragé, puis choisissez les plantes. Privilégiez les essences adaptées aux abords humides, qui ne perdent pas leurs feuilles dans la piscine, et qui exigent peu d’entretien. Bois, pierre naturelle, grès cérame, béton drainant… côté plage, autour du bassin, vous aurez le choix entre différents matériaux, en fonction de votre budget et de vos goûts en matière d’esthétique. Pensez aussi à l’entretien : certains matériaux nécessitent un traitement régulier pour bien vieillir. Le bois, chaleureux sous le pied, doit par exemple être posé avec un système de fixation invisible et bénéficier d’un traitement adapté à l’humidité.
Jouer avec les éclairages
Pour éviter les câblages visibles et les oublis d’alimentation, pensez aux éclairages dès la conception de la piscine ! Gage de sécurité, une jolie lumière permet de profiter plus longtemps des belles soirées d’été. Des projecteurs LED immergés donnent une jolie couleur à l’eau et soulignent les lignes du bassin, tandis que des spots encastrés ou des bornes solaires, balisent les allées et prolongent l’usage des espaces extérieurs. Pour mettre en valeur un arbre, un muret ou une plage, vous pouvez aussi intégrer des projecteurs orientables. Soyez créatif, créez l’ambiance qui vous ressemble !
Comment choisir le liner ?
Bien moins cher que les carrelages et les enduits, le liner est le revêtement de piscine le plus répandu. Plus sa couleur est foncée, plus le bassin capte la chaleur, mais s’il est généralement bleu clair, il peut aussi être gris, sable ou ardoise, pour créer des effets d’eau plus naturels. Au-delà de l’aspect visuel, étudiez l’épaisseur du revêtement : une membrane armée et un liner renforcé (150/100), sont plus résistants et durables que les modèles standards.




Miser sur les protections solaires extérieures ! Les stores bannes, fixés au-dessus des ouvertures, bloquent les rayons du soleil avant qu’ils ne touchent les vitres. Deuxième option, le brise-soleil orientable, idéal dans les maisons bien isolées, où la surchauffe estivale peut vite devenir un problème, la chaleur étant emprisonnée à l’intérieur… Posé en façade, ce système de lames en bois ou en métal, régule la lumière selon l’angle du soleil. En version motorisée ou connectée, il peut s’ajuster automatiquement en fonction de la météo. Sinon, pensez aux pergolas : en plus de prolonger l’espace de vie sur la terrasse, celles-ci protègent la façade d’une exposition directe à la lumière. Les pergolas bioclimatiques sont en plus équipées de lames orientables en toiture, qui laissent circuler l’air tout en bloquant la chaleur. Certains modèles se ferment aussi latéralement avec des stores zip, des panneaux ou des cloisons ajourées.
Si vous faites des travaux...
Savez-vous que l’orientation des pièces et l’emplacement des ouvertures ont un fort impact sur le confort d’été ? Tenez-en compte si vous devez rénover une maison de campagne. Un débord de toit bien dimensionné au sud, peut par exemple bloquer le soleil, haut en été, tout en laissant passer la lumière basse en hiver... Ensuite, pensez aux gestes quotidiens. Fermer les volets battants le jour, créer des courants d’air matin et soir, ventiler les combles... ces habitudes combinées aux bons équipements, permettent de garder la maison fraîche sans dépenser d’énergie supplémentaire.
Un store anti-chaleur chez Velux
Pour ses fenêtres de toit, Velux propose un store extérieur anti-chaleur conçu pour limiter l’effet de serre. Installé à l’extérieur de la fenêtre, il bloque jusqu’à 80 % de la chaleur avant qu’elle ne pénètre dans la pièce, ce qui réduit significativement la température intérieure, tout en laissant filtrer la lumière du jour. Il est disponible en version manuelle, électrique ou solaire, et peut se combiner avec un store intérieur occultant pour une protection complète.





Peut-on rafraîchir l’intérieur de la maison sans (trop) faire grimper la température énergétique ? Oui, mais il y a climatiseur et climatiseur… Si vous ne pouvez pas vous en passer, choisissez un climatiseur basse consommation dont l’étiquette affiche une note A++ ou A+++, bien moins énergivore que les autres (A+, A et B). Bonne nouvelle, les appareils dotés de la technologie Inverter consomment aussi 30 à 40 % d’énergie en moins : en ajustant constamment leur puissance à la température ambiante, ils évitent les à-coups énergivores. Nouvel allié écoresponsable, le thermostat connecté peut également baisser la facture d’environ 15 % en gérant intelligemment la climatisation. Concrètement, il adapte la température des pièces à leur utilisation en temps réel. Pas la peine de climatiser toute la maison quand vous n’êtes que dans le salon !
Utiliser le soleil pour se rafraîchir ?
Solution économique et écologique, il est désormais possible d’alimenter sa climatisation avec des panneaux photovoltaïques couplés à des batteries : plus il fait chaud, plus ils produisent d’électricité, grâce à l’énergie du soleil ! Sinon, même sans panneaux sur le toit, vous pouvez choisir un fournisseur d’énergie (Enercoop, Mint Énergie…) qui investit dans l’éolien et le solaire afin de climatiser votre intérieur avec une électricité décarbonée.
Passer aux énergies vertes avec Engie
Engie propose à ses clients particuliers des offres d’électricité verte sans engagement ni frais de résiliation. Ainsi, pour chaque kilowattheure consommé, une quantité équivalente d’électricité d’origine renouvelable est injectée dans le réseau. Les offres Elec Référence permettent de bénéficier de prix fixes pendant un, deux ou trois ans. Elec Vert+ est une offre premium à + 3 €/mois, qui garantit une électricité verte produite exclusivement en France et achetée directement aux producteurs renouvelables.


