Cousines des groseilles à grappes, les groseilles à maquereau poussent individuellement sur un arbuste épineux (Ribes uva-crispa). Ce sont des fruits d’abord vert pâle, un peu translucides et veinés de blanc, de la taille d’une cerise. Selon la variété, ils deviennent ensuite blancs ou rouges, et se dégustent cuits comme crus.
1. Choisir un sol riche, pas trop calcaire. Son arbuste ne supporte ni les fortes chaleurs ni la sécheresse, on le plante plutôt à mi-ombre.
2. Séparer les pieds de 1,20 mètre, notamment pour faciliter la récolte, à cause des épines. Ceux qui préfèrent les éviter opteront pour la variété freedonia.
3. Apporter du fumier déshydraté ou du compost bien décomposé, et un peu d’engrais riche en potasse, puis arroser généreusement.
• Arroser régulièrement et pailler pour garder le sol humide.
• On taille en février : couper les rameaux les plus anciens dès la base, car ils ne donnent plus de fruits au bout de quatre ou cinq ans. Éclaircir de temps en temps le centre de l’arbuste.
• La période de récolte débute en juin, jusqu’à mi-août selon la variété choisie.
Une bonne raison de les cultiver : on les trouve rarement dans le commerce ! Plus sucrées que les groseilles à grappes, elles se croquent fraîches, tout juste cueillies, ou se cuisinent en tarte, en confiture ou en gelée. Reines du sucré-salé, on les prépare aussi en chutney : elles accompagnent volontiers un poisson gras (comme le maquereau !) ou un magret de canard.
Une bonne raison de les cultiver : on les trouve rarement dans le commerce ! Plus sucrées que les groseilles à grappes, elles se croquent fraîches, tout juste cueillies, ou se cuisinent en tarte, en confiture ou en gelée. Reines du sucré-salé, on les prépare aussi en chutney : elles accompagnent volontiers un poisson gras (comme le maquereau !) ou un magret de canard.